Durée : 6 heures
Référence réglementaire : loi 2016-274 du 7 mars 2016 – Code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile
Texte de loi et informations ici
Version consolidée au 11 mai 2017
Certification : Non obligatoire
Prix : 100 €
Formation de lutte contre la fraude documentaire destinée à tout professionnel amené à contrôler des documents d’identité et/ou de voyage français ou étrangers.
Référence legislative: loi 2016-274 du 7 mars 2016 sur le Code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile – Version consolidée au 11 mai 2017 – Lien au texte de loi ici
Tout public amené à contrôler des documents d’identité et/ou de voyage français ou étrangers (Services de l’Etat, Agents de sécurité et de sûreté aéroports, ports, sites sensibles, stadiers, filtrage lors d’évènementiel, accueil en entreprise et sièges sociaux, banques.)
Objectifs : Reconnaitre les éléments utilisés pour la sécurisation des documents d’identité et de voyage et faire apparaitre les éléments constitutifs d’une fraude en mettant en œuvre les moyens techniques adaptés.
Test final : Deux essais au test final sont proposés. Le stagiaire doit réussir sa formation avec au mininum 80% de bonnes réponses.
Certification : Acquisition de la compétence contrôleur en fraude documentaire, à la suite de la réussite à l’évaluation de fin de stage sanctionnée par l’obtention de la note minimale de 80/100 et constituée d’un questionnaire technique avec et sans vues sur la fraude documentaire, discrimination des modes d’impression, l’ensemble de ces thèmes étant abordés lors de la formation.
Validité : 3 ans.
Points clés:
– la fabrication des documents administratifs : la normalisation des documents de voyage, le support (papier/polymère), éléments de sécurisation, les impressions de sécurité, les encres de sécurité, les accessoires de sécurisation, la personnalisation, la protection des données, les films de protection,
– étude des documents français et étrangers sécurisés,
– les différents types de fraudes : la falsification, la contrefaçon, le document fantaisiste, l’usage frauduleux, l’obtention indue.
– évaluation : questionnaires avec et sans vues sur la fraude documentaire et à l’identité, discrimination des modes d’impression
